Il est temps pour Adélaïde, loin de chez elle, immobilisée en maison de repos, de léguer à sa petite-fille son plus grand secret. Elle est la sentinelle du Petit Peuple, la protectrice des êtres féeriques qui sont les garants de l’équilibre de notre Terre. Elle lui transmet la recette de la pommade de fée : à son tour, Élina pourra voir ce monde merveilleux et découvrir sa nouvelle mission. Car l’heure est grave. Au lac, l’ondine a disparu et le Petit Peuple a besoin de son aide. Pour protéger les humains et les êtres féeriques, en poursuivant son apprentissage auprès de sa grand-mère, Élina devra aussi dissimuler à sa mère ses nouveaux pouvoirs…
Du graphique ici. Oui, oui. Tout est possible. Mes trois dernières lectures graphiques sont, de mémoire, « Le grand méchant renard« , « La différence invisible » et « Un printemps à Tchernobyl » (je conseille très fort les trois).
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Si je n’en lis pas souvent, je tombe toujours sur des travaux très sympathiques et agréables. Ici, ce sont le petit peuple et le dessin qui m’ont attirée…et, finalement, l’histoire va un peu plus loin que ça. Grâce à Adélaïde, la grand-mère de notre jeune protagoniste Élina.
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Accessible à partir d’une dizaine d’années.
La sentinelle du petit peuple – Carbone, Barrau et Forns
Dupuis, 2021
56 pages
Lire par Elora 
Une bd qui me tente bien
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