Une rentrée fracassante en voiture volante, une étrange malédiction qui s’abat sur les élèves, cette deuxième année à l’école des sorciers ne s’annonce pas de tout repos ! Entre les cours de potion magique, les matches de Quidditch et les combats de mauvais sorts, Harry trouvera-t-il le temps de percer le mystère de la Chambre des Secrets ? Un livre magique pour sorciers confirmés.
(Ce livre étant un deuxième tome = risque de spoils)
Chers vous,
Depuis de longs mois, une envie me taraudait : relire les sept tomes d’Harry Potter, que j’avais lu au début de mon adolescence. Sachant que je n’avais jamais fini la saga, en partie par lassitude et par perte d’intérêt, il fallait oser…et, pourtant, je viens de finir le deuxième tome de la saga.
Il faut avouer que je n’ai absolument pas le sentiment de (re)découvrir l’histoire. Déjà, parce qu’on en entend encore beaucoup parler. De plus, les événements sont encore bien dans mes souvenirs ou me reviennent au fur et à mesure alors que j’ai commencé à lire la saga, il y a 19 ans ! Si, si. Pourtant, je me laisse prendre au jeu et quand l’action s’enclenche, difficile de poser le roman. Ce deuxième tome fonctionne comme le premier (et les suivants) : l’intrigue se déroule sur une année scolaire. Cela n’est pas sans entraîner quelques répétitions. Rares mais bien présentes et peut-être nécessaires pour les lecteurs les plus jeunes. Les protagonistes commencent à prendre de l’épaisseur, gagnant en intérêt grâce à des secrets révélés. De plus, les nouveaux personnages sont tantôt attachants (Dobby et Ginny) tantôt agaçants (On en parle de Gilderoy Lockhart ?).
Harry Potter et la Chambre des secrets est un tome plus sombre et plus dynamique que le premier. JK Rowling n’hésite pas à aborder de nouveaux thèmes comme l’amour et à développer un peu plus son monde. L’avantage, c’est qu’elle y va petit à petit et n’écœure pas ses lecteurs. Peu importe votre âge, si vous avez de l’imagination, ce monde pourrait vous plaire. J’espère simplement que vous n’êtes pas arachnophobe ou ophiophobe (phobie des serpents).
J’ai du mal à comprendre comment le succès de Harry Potter s’installe dans le temps et dure depuis plus de vingt ans.En revanche, il faut reconnaître que cela se dévore (au moins les premiers tomes).
Harry Potter et la chambre des secrets – JK Rowling
Folio, 2001
360 pages
Je pense que si le succès dure, c’est parce qu’il y a eu les films, les fans sont actifs et actives, il y a le site Pottermore que l’autrice nourrit depuis longtemps maintenant, etc. Tout ça fait que ça vit encore et les jeunes de l’époque partagent leur passion avec les jeunes d’aujourd’hui 🙂
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