Le dieu-oiseau – Aurélie Wellenstein

Une île. Dix clans. Tous les dix ans, une compétition détermine quel clan va dominer l?’île pour la décennie à venir. Les perdants subiront la tradition du « banquet » : une journée d’orgie où les vainqueurs peuvent réduire en esclavage, tuer, violer, et même dévorer leurs adversaires. Il y a dix ans, Faolan, fils du chef de clan déchu, a assisté au massacre de sa famille. Sauvé par le fils du chef victorieux, Torok, il est depuis lors son esclave et doit subir ses fantaisies perverses. Sa seule perspective d’avenir est de participer à la compétition de «l’homme-oiseau», afin de renverser l’équilibre des pouvoirs en place et de se venger. Qui du maître ou de l’esclave va remporter la bataille ? Quel enjeu pour les habitants de l’île ? Quel est le prix à payer pour la victoire ?

WAHOU.

Ah oui ? Ça ne suffit pas comme chronique ?

Bon. D’accord. Mais sachez que je ne sais pas comment parler de ce roman.

Il faut le lire pour le croire.

Avec Le Dieu Oiseau, nous sommes bien loin de la fantasy pure et simple. Aurélie Wellenstein nous propose un roman sur la vengeance et le pardon mais violent. Âmes sensibles s’abstenir car, plus loin que l’esclavage, le lecteur doit faire face à des meurtres, du cannibalisme et des violences psychologiques horribles. Et il n’y a absolument aucun temps morts.

Quant à l’écriture, elle peut être assez déroutante car très accessible, presque « young adult ».

 

Le dieu-oiseau – Aurélie Wellenstein

Scrinéo, 2018

352 pages

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#PLIB2019

#ISBN:9782367405827

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2 réflexions sur “Le dieu-oiseau – Aurélie Wellenstein

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