Neverwhere – Neil Gaiman

Richard Mayhew vit à Londres une vie sans histoire, travaille dans un bureau, s’apprête à se marier, lorsqu’il sauve la vie de Porte, une jeune fille qui a le don de savoir ouvrir tout ce qui peut s’ouvrir. Cet évènement fait basculer sa vie. Sa fiancée le quitte, ses proches ne le voient plus, sa vie semble n’avoir jamais existé.

Il découvre alors qu’il existe un Londres d’En Bas, souterrain, peuplé de mendiants qui parlent aux rats, et de toute une société féodale et magique. Il décide de suivre Porte à la recherche des assassins de son père, dans l’espoir de trouver un moyen de reprendre une vie normale.

Après avoir lu et apprécié Coraline de Neil Gaiman il y a quelques (longues) années, j’ai enfin pris la peine de le découvrir dans ses romans destinés aux adultes. Avec Neverwhere, l’auteur nous plonge dans un univers complexe avec ses mythes et légendes, ses héros, ses dangers et ses lieux mémorables. Le ton est sympathique et très visuel comme l’histoire. En effet, on se croirait dans un jeu vidéo avec ses quêtes et c’est… bizarre. Il faut s’accrocher pour trouver le fil de l’histoire et le conserver. Certains passages n’ont ni queue ni tête. Je dois dire que je n’ai pas accroché aux personnages pour cause de caricature. Les gentils sont tout mignons… et les méchants bien méchants. Cela donne des moments jouissifs mais, sur l’ensemble du récit, c’est ennuyeux car prévisible.

Ça m’apprendra à vouloir lire d’autres romans d’un auteur quand j’ai apprécié ma première lecture !

 

Neverwhere, Neil Gaiman

J’ai lu, 2011

380 pages

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